Au menu d'août, des romans qui n'ont pas gagné leur place au premier semestre, distancés par d'autres plus attrayant ou correspondant à des items de challenges hebdomadaires, mais que je tiens à lire ... et quoi de mieux qu'un mois sédentaire pour leur donner une chance  avant les tentations de la rentrée littéraire !

Côté électronique, des relectures, dont un pavé de plus de 1000 pages, lu d'une traite lors de sa sortie dans les années 70 et que je m'étais promis de relire un jour en VO, mais aussi des romans de nationalités moins coutantes, pour me permettre d'avancer encore sur le challenge Globe trotter qui se corse de plus en plus 

Côté électronique, des relectures, dont un pavé de plus de 1000 pages, lu d'une traite lors de sa sortie dans les années 70 et que je m'étais promis de relire un jour en VO, mais aussi des romans de nationalités moins coutantes, pour me permettre d'avancer encore sur le challenge Globe trotter qui se corse de plus en plus. 

Inspirée par la boîte achetée chez Gaëlle, lors du salon de Grazac en septembre dernier, je me suis confectionnée une boîte de premier secours spéciale tricots parisiens.

Dans une boîte en métal ayant contenu des stylos et conservée dans mon sac à trésors depuis une quinzaine d'années, j'ai incorporé : 

- un mètre ruban brodé, récupéré quand on a vidé la maison de mes parents (je l'avais brodé pour ma mère il y a bien longtemps) 
- une paire de mini ciseaux (offerte par ma fille à Noël 2020)
- un kit SOS tricot acheté chez Gaëlle, Woolyday, comportant 3 mini crochets
 - 2 compte rangs, dont un spécial chaussettes, eux aussi venant de chez Gaëlle, 
- des protège pointes d'aiguilles, 
- des anneaux marqueurs multicolores (certains de chez Gaëlle, d'autres de chez Sostrene Grene, d'autres récupérés sur des vêtements !) 
- un petit cœur en cèdre à glisser dans le pochon à ouvrages pour faire fuir les mites. 
- et, sur le couvercle, quelques mini post-it, pour me repérer dans les explications ! 

Et voilà !

Dans les années 80, les restaurants Hippopotamus proposaient à leur carte une entrée d'œufs pochés à la crème saupoudrés de ciboulette.

L'achat d'un nouveau plant pour le jardin m'a remis ce plat en mémoire, et j'ai décidé de le reproduire.

J'ai pris, pour 2 : 
4 œufs frais
1 belle cuillère à soupe de crème fraiche épaisse 
3 cuillères à soupe de crème fraiche liquide
sel, poivre, ciboulette ciselée 

Faire pocher des œufs selon votre recette préférée*, et bien les égoutter 
Mélanger les deux crèmes, saler, poivrer, en verser un peu dans une assiette creuse 
Déposer les œufs sur la crème, napper du restant et saupoudrer de la ciboulette ciselée. 

* pour pocher les œufs sans souci, je les dépose dans un petit bol tapissé de film alimentaire huilé. 
J'enferme les œufs dans ce film alimentaire en nouant les quatre coins et je les dépose 4 à 5 minutes (selon leur grosseur) dans une casserole d'eau bouillante.
Je les retire avec une écumoire, coupe les nœuds du film puis je les fais délicatement glisser dans l'assiette.

Trop compliqué depuis l’année dernière de retourner en Grèce pour des vacances, alors, je poursuis tous les mercredis, la publication de photos de bleu, majoritairement grec, ce bleu qui me manque tant, ce bleu grec qui enchanta mes dernières vacances … en attendant d’y repartir !

Le bleu du ciel, de la mer, des objets …

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par d’autres couleurs …

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd’hui, le bleu du ciel et de la mer sur le port de Nea Epidavros

Après vous avoir montré depuis un an, les souvenirs de voyage qui agrémentent la maison voire nous servent au quotidien, je vais poursuivre, pour une deuxième saison avec des crayons ! 

Je craque régulièrement pour ces petits objets, dans les boutiques des musées, des expositions voire d'aéroport, pour ramener ces souvenirs tout petit, regroupés dans des pots ou oubliés au fond de tiroirs.

Je les en ai exhumés récemment ...

J'ai ramené celui-là de Rome, de la boutique du Palazzo delle esposizioni après y avoir visité, entre autres, une expo sur Pasolini 

Après les foins et les céréales, ce sont les tournesols qui scandent les saisons et me confirment que je vis bien à la campagne ! 

Cette année deux champs contigus ont été ensemencés à des dates différentes.

Conséquence : l'un est déjà presque totalement éclos quand la floraison de l'autre démarre à peine !  

Belle concentration de regards ... 

J'espère qu'aucun n'a été oublié ! 

Peut-être pas assez mûrs ?

Peut-être encore mouillés ?

Les épis du champ le plus proche de chez nous n'étaient moissonnés que sur leur pourtour, le 20 juillet ... 

Deux nappes des années 80, l'une blanche quadrillée de bleu marine et ponctuée de carrés de couleur, l'autre simplement quadrillée de bleu ciel avaient bien mal vieilli.

Tachées de part en part, elles n'étaient plus utilisables en l'état. Porteuses de nombreux souvenirs, je rechignais à les jeter ... 

L'Homme me suggéra d'en ôter les morceaux abîmés pour convertir le restant en serviettes, mia pourvue de quatre bandes de même longueur, elles sont devenues nappe d'été pour la terrasse.

Les voilà, tout juste assemblées ...  en attendant de voir cette nappe en service :) 

Quand des nectarines ou des pêches refusent de mûrir, les pocher permet de les déguster avant qu'elles s'abîment ! 

J'ai pris : 
une poignée de feuilles de verveine
3 nectarines
50 g de sucre de canne 

Préparer une infusion de verveine en plongeant une poignées de feuilles sèches dans un litre d'eau bouillante. Couvrir et laisser infuser une dizaine de minutes hors du feu.
Filtrer pour enlever les feuilles et sucrer, puis remettre à feu doux.
Quand le liquide frémit, ajouter des tranches de nectarines (non pelées) et laisser cuire à feu doux pendant une trentaine de minutes.
Servir tiède ou froid.

S'il reste du liquide, recommencer l'opération le lendemain ! Ce sera de plus en plus concentré et sirupeux ! 
Un délice !