Autant l'année dernière les orchidées pullulaient au jardin, autant cette année, elle se sont faites très rares. 

Deux sortes seulement, dont seules les roses, étonnamment plus précoces en 2021, se retrouvent dans tous les coins du jardin ! 

Pour le mois de juin, j'ai composé une sélection éclectique et internationale, avec côté, papier, la BD de Franquin du mois, un craquage récent : ce roman polynésien tout juste paru, qui me permettra de valider un chaînon récalcitrant du challenge globetrotter, et un roman retrouvé récemment dans une de mes Billy, roman égaré depuis plus de deux ans et que j'ai cherché un bon moment !

Côté Kobo, j'ai choisi une sélection internationale qui devrait m'emmener dans un tour du monde, avec par ordre d'apparition sur l'écran, l'Argentine l'Uruguay, le Soudan, le Zimbabwe et l'Italie :) 

Côté Kindle, je devrais passer par d'autres destinations exotiques : le Pérou, le Sultanat d'Oman 

A suivre, début juillet pour découvrir lesquelles de ces nouvelles destinations m'auront enchantée ! 

Tout droit sortie d'un album de Franquin, dont j'ai commencé cette année la relecture des albums, nous avons découvert la 2CV de Gaston Lagaffe, dans un village voisin où nous nous promenions ! 

Quand j'avais lu les explications du modèle 'Stone', une pettie phrase avait légèrement atiré mon attention.

Elle disait, en substance, que l'écart de dimension entre dessus et dessous du pied serait résolu par l'élasticité de la laine. 

Mais dans le livre, ce modèle était prévu pour une petite pointure  et était réalisé de la tige vers la pointe.

Je m'en étais inspirée pour appliquer ce motif ) mon modèle habituel, partant de la pointe, et en taille 42.

Alors que j'avançais sur le pied, je me suis aperçue d'une nette différence de longueur entre le dessus du pied, en point fantaisie, et le dessous, en jersey ... 

Arrivée au talon cet écart était de plus de 3 centimètres ! 

J'ai donc réalisé des rangs supplémentaires (18) pour arriver à joindre les deux bouts ! 

Et la première chaussette finie, l'Homme a pu y glisser son pied.

Ouf !

Il me reste à en faire maintenant à tricoter la deuxième ... dès que j'aurai reçu ma commande d'aiguilles 

Recette vintage par excellence, j'aimais beaucoup que ma mère en prépare quand j'étais enfant, mais c'était rare car c'était un plat qui prenait beaucoup de temps à préparer avant d'être dévoré en quelques minutes.

Nous ne sommes plus que deux à la maison, avec beaucoup de temps disponible ... 

J'ai eu envie d'en concocter ! 

J'ai pris : 
un bouquet de jeunes artichauts (5) 
250 g de chair à saucisse
de la chapelure fine (enfin, des morceaux de pain sec, hachés très fin à la moulinette électrique) 
1 œuf
un brin de romarin d'environ 15 cm,  frais cueilli au jardin 
1 oignon
3 ou 4 gousses d'ail
1 kub'or ou autre bouillon de volaille déshydraté

Préparer la farce en amalgamant la chair à saucisse, la chapelure, l'œuf et le romarin ciselé.
Préparer le fond de sauce en faisant fondre les oignons et l'ail émincés dans deux cuillères d'huile d'olive, dans une cocotte-minute. Quand ils sont translucides, ajouter un verre de vin blanc et deux verres d'eau. 
Pendant ce temps, préparer les artichauts : enlever la queue et les feuilles coriaces du bord, les laver rapidement sous l'eau froide 
Avec un bon couteau, découper la pointe de la fleur d'artichaut sur environ la moitié de sa hauteur 
Avec une petite cuillère (solide) enlever l'intérieur de l'artichaut, en essayant d'ôter tout le foin, de façon à ménager une cavité où blottir la farce.
Remplir de farce, puis déposer sur le lit d'oignons. 
Refermer la cocotte-minute et laisser cuire 12 minutes à partir de la mise en rotation de la soupape.

Déguster :) 
 

Trop compliqué depuis l’année dernière de retourner en Grèce pour des vacances, alors, je poursuis tous les mercredis, la publication de photos de bleu, majoritairement grec, ce bleu qui me manque tant, ce bleu grec qui enchanta mes dernières vacances … en attendant d’y repartir !

Le bleu du ciel, de la mer, des objets …

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par d’autres couleurs …

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd’hui, une vue sur la presqu'île de Methana depuis les hauteurs d'Egine où nous venions d'admirer les premiers spécimens d'Art électrique local :) 

Après vous avoir montré depuis un an, les souvenirs de voyage qui agrémentent la maison voire nous serveent au quotidien, je vais poursuivre, pour une deuxième saison avec des crayons ! 

Je craque régulièrement pour ces petits objets, dans les boutiques des musées, des expositions voire d'aéroport, pour ramener ces souvenirs tout petit, regroupés dans des pots ou oubliés au fond de tiroirs.

Je les en ai exhumés récemment ...

J'ai ramené celui-là de Pompéi, notre premier voyage en Italie, en février 2003 ... 

Encore une fois, les verbes 'serrer' et servir' ont été confondus dans une de mes dernières lectures ! 

Ce n'est pas la première fois que cette coquille m'agace ... 

!

Ce n'est pas la première fois que cette coquille m'agace ... 

Je l'avais déjà relevée dans No home de Yaa Gyasi (Calmann Levy), Jeunesses Françaises de Fabien Truong (La Découverte) et Le Figaro ! 

Et pourtant "servir la main" et "serrer un plat", ce n'est pas si difficile à distinguer !

Les cerises passent au rouge :) 

Les figues de printemps continuent de grossir mais vont-elles mûrir cette année ?

Abricots, prunes et cassis continuent leur croissance.

Les grappes de raisins se forment.

Et sur le citronnier, le tout premier fruit cohabite avec les nombreuses fleurs. 

D'autres roses apparaissent, notamment sur un des rosiers rouges qui ne porte que de rares fleurs.

Un tour chez Botanic a permis de refleurir la vasque aux pétunias et d'installer, près de la cuisine,  le pélargonium  annuel

Un vendredi après-midi de début mai où le soleil avait finalement fait fuir les nuages, nous avons décidé de retrouver notre traiteur sicilienne sur un autre marché que celui du dimanche où nous la fréquentions habituellement.

Ce changement d'habitudes, nous a permis de (re)découvrir les traces de l'occupation romaine de la région durant le premier siècle de notre ère, avec cette borne miliaire, dressée près de l'église d'Ayguevives, qui permettait déjà de connaître les distances parcourues.

Une montée tout en haut du village nous a permis d'admirer le clocher-mur typique des églises de la région, et, au loin, l'ondulation des collines lauragaises ...