Oh que ce fut agréable de repartir en Grèce.

De pouvoir à nouveau plonger dans le Bleu, du moins avec les yeux, et de baigner dans la douceur des rayons du soleil automnal.

Pour conserver ce plaisir, je poursuis ma publication de photos de Bleu, chaque mercredi, de ces bleus récoltés lors de nos séjours grecs !

Bleu du ciel, de la mer, des objets …

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par d’autres couleurs …

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd’hui, une décoration de toit, dénichée sur la presqu'île de Methana 

Au menu de décembre, je ne prévois rien côté papier !

Je me laisserai tenter par les prêts de ma fille ou ces pépites qui attendent dans le studio parisien ! 

Côté électronique, des sollicitations chez NetGalley ...

et quelques craquages, récents ou pas ! 

Cet homme au regard envoutant illustre l'une des armoires électriques de la rue de Tolbiac ...

Je le croise souvent lors de mes pérégrinations parisiennes sans savoir qui il est ... 

Vous savez ? 

La balade au Quartier Latin d'un dimanche frisquet de mars fut propice à la récolte d'œuvres d'Invader, tel celui-ci, très classique 

Les toits grecs portent à leurs angles des décorations de terre cuite qui, le plus souvent, représentent des silhouettes féminines.

Parfois, ce sont des motifs floraux.

Mais très rarement des silhouettes masculines ! 

Nous n'avons vues celles-ci que sur l'église  Εκκλησία Αγία Βαρβάρα, en plein coeur de la presqu'île de Methana !

Commencées fin janvier, la première fut terminée fin avril ... normal pour un ouvrage dont la vocation était de rester à Paris, où je devais l'avancer à chacun de nos séjours. J'avais estimé qu'en 6 mois, la paire serait finie ! 

Mais c'était sans compter l'annonce de l'arrivée de Mademoiselle dont la fabrication du trousseau primait sur la nouvelle paire de chaussettes de son futur grand père ! 

En juillet, je rapatriai donc cet ouvrage à Toulouse, y posant quelques rangs lors des tricothé et autres tricot-pizza ... 

Je les ai enfin terminées fin octobre, et l'Homme content du résultat, les passa aussitôt ! 

Avec les premières pommes de l'automne, j'ai revisité mmes recettes de crumble pour les adapter au contenu de mes placards et du congélateur. 

J'ai pris : 
6 pommes moyennes
un petit bol de fruits rouges surgelés
70 g de sucre
50 g de farine
35 g de flocons d'avoine
25 g de poudre d'amandes
70 g de beurre
quelques pignons

Préchauffer le four à 210°.
Peler et émincer les pommes
Les déposer dans un plat à gratin beurré en y mélangeant les fruits rouges (toujours congelés) 
Préparer la pâte à crumble en mélangeant la farine, la poudre d'amandes et le sucre puis en y incorporant le beurre froid pour obtenir un mélange sableux, ajouter les pignons.
Déposer la pâte sur les fruits.
Faire cuire 20 minutes à 210° puis baisser la température à 18° et prolonger la cuisson de 20 minutes supplémentaires.
Déguster tiède ou froid 

Oh que ce fut agréable de repartir en Grèce.

De pouvoir à nouveau plonger dans le Bleu, du moins avec les yeux, et de baigner dans la douceur des rayons du soleil automnal.

Pour conserver ce plaisir, je poursuis ma publication de photos de Bleu, chaque mercredi, de ces bleus récoltés lors de nos séjours grecs !

Bleu du ciel, de la mer, des objets …

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par d’autres couleurs …

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd’hui, les parasols de la plage de Nea Epidavros, prêts à prendre leurs quartiers d'hiver ... 

Quand nous avons vidé la maison de mes grands-parents, en fin d'année 2019, j'ai récupéré quelques objets, certains chargés de souvenirs et d'autres d'histoire, comme ce couvercle un peu cabossé, vraisemblablement fabriqué par mon oncle ou mon grand père, et dont je me sers aujourd'hui très régulièrement 

La première fois que nous avons vu des cadenas accrochés sur un pont, c'était à Rome, en 2007, sur les lieux mêmes où Federico Moccia avait placé la scène emblématique de son roman "Trois mètres au dessus du ciel" où deux amoureux accrochaient un cadenas à un réverbère du Ponte Milvio puis en jetaient la clé dans le Tibre ! 

Depuis, cette mode s'est répandue, on en a vu en Espagne, en Irlande ... puis Paris en fut envahi ! 

Plus récemment, la vision de cadenas accrochés aux superbes statues qui ornent le pont Alexandre III m'a mise en colère ! 

La Mairie de Paris a proposé une alternative numérique  et interdit la vente des cadenas auprès des ponts.

A suivre ...