Novembre fut un très bon mois côté lectures, mais pas vraiment pour le respect du programme préparé fin octobre, je réinscris donc au menu de décembre, le dernier roman d'Elisabeth George, acheté dès sa sortie, mais que le poids confine à des semaines sédentaires.

Je l'accompagne d'un essai historique, prix Pulitzer en 2013 et acheté en 2017, qui s'était égaré dans une Billy.

Ils seront très certainement rejoints par des cadeaux de Babelio, des prêts de l'Enfant et d'emprunts en médiathèque - physiques ou numériques ...   

A suivre, début janvier, pour savoir ce qu'il en aura été ! 

Parce que j'allais voir leurs récipiendaires lors du séjour parisien de fin novembre, j'ai réalisé, en avance, ces deux calendriers 2020 ... un entraînement pour la vingtaine qui sera réalisée en fin d'année ... 

A suivre !  

Un jour pluvieux de novembre où la pluie persistante devenait désespérante et où deux poires piquaient du nez dans le compotier, j'ai décidé d'embaumer la maison avec des odeurs réconfortantes de gâteau et d'épices.

J'ai pris : 

2 poires
un peu de beurre demi-sel
2 œufs
10 cl de crème fraîche liquide 
10 cl de lait
2 cuillères à soupe bombées de poudre d'amandes 
2 cuillères à soupes rases de farine d'épeautre
1,5 cuillère à soupe de sucre roux
2 cuillères à café de quatre-épices
1 pincée de sel

Préchauffer le four à 210°
Beurrer généreusement un plat à tarte en faïence avec le beurre demi-sel
Mélanger la farine, la poudre d'amandes, les épices, le sucre et le sel dans une jatte 
Eplucher et couper les poires en lamelles et disposer sur le plat à tarte beurré 
Battre les œufs avec le lait et la crème, verser sur les ingrédients secs en mélangeant bien pour éviter les grumeaux. Verser sur les poires. Disposer de petits dés de beurre demi-sel sur le dessus du plat 
Enfourner pour 30 minutes  
Déguster tiède ou froid 

Du Bleu sur les panneaux indicateurs ... Ici, ceux du site archéologique de Dendra

Depuis notre retour de Grèce, je suis en manque de bleu ... 

Alors j'ai décidé que tous les mercredis, je publierai ici une photo de ce bleu grec qui enchanta mes vacances ... 

Le bleu du ciel, de la mer, des objets ... 

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par des premiers-plans d'autres couleurs ... 

Bref, le bleu sous toutes ses formes !

Un extraterrestre bien classique déniché en janvier 2019, un soir glacial où nous venions de dîner rue Mouffetard 

Dès son ouverture en 1909, cette petite rue du Vème arrondissement parisien fut baptisée rue Pierre Curie,, co-nobélisé en 1903 (avec son épouse Marie et Henri Becquerel) et décédé en 1906.

Ce n'est qu'en 1967 qu'on ajouta,  au nom de la rue,  le prénom de son épouse, Marie !

33 ans après la mort de Marie Curie, 56 ans après son 2° prix Nobel (1911) 

Sans commentaires ! 

Après la boîte à lettre décorée de portraits de Simone Veil, sur la façade de la mairie du XIIIème arrondissement, près du Panthéon, celle-ci, portant le portrait de Pierre Brossolette, c'est encore près du Panthéon, au mois de septembre, que nou avons déniché celle-ci, portant le portrait de Pierre Curie 

Un dimanche pluvieux du mois d'octobre, nous avons choisi de passer l'après-midi abrités, en allant visiter l'Hôtel de la Monnaie, dont l'exposition temporaire sur les porte-monnaie allait bientôt s'achever.

Le bâtiment du XVIIIème siècle est splendide.

La première partie de la visite permet d'observer les ateliers des fondeurs, graveurs et autres artisans spécialisés de l'institution - et, le dimanche, d'étudier les panneaux explicatifs décrivant l'activité de l'Hotel de la Monnaie.

Après une introduction chimique avec le tableau périodique des éléments, une salle obscure proposait une série de vitrines contenant les métaux utilisés pour fabriquer des monnaies : or, argent, cuivre, bronze, platine ...

Suivit une salle dédiée aux pièces de monnaie, puis aux bilelts, où nous avons découvert l'rigine des pile /face, retrouvé les derniers francs, avant l'hitoire des euros à face nationale et pile européenne.

Après un long moment passé dans la salle dédiée aux outils (presses, ...) et aux médailles, nous avons poursuivi la visite par l'exposition temporaire dédiée aux porte-monnaie, dont l'apparition ne remonte qu'au XIXème siècle ... Accessoire utile ou objet de luxe; 

Ordinaires ou précieux, tous les matériaux,  du bois, des perles, de la nacre ont été utilisés pour les fabriquer ! 

Après un long moment passé dans la salle dédiée aux outils (presses, ...) et aux médailles, nous avons poursuivi la visite par l'exposition temporaire dédiée aux porte-monnaie.

Leur apparition ne remonte qu'au XIXème siècle.

Accessoire utile ou objet de luxe.

Ordinaires ou précieux.

Toutes sortes de matériaux,  du bois, des perles, de la nacre ont été utilisés pour les fabriquer ! 

Dans l'optique d'utiliser les belles laines achetées sur des salons, j'avais resorti en juin, le superbe écheveau bleu dégradé d'Indiecita Alpaga fleece, acheté en 2018 au salon de Toulouse ...

J'avais dans l'idée de le transformer rapidement en châle Zilver, facile mais bluffant grâce à un point texturé dont le nombre de rangs augmente au fur et à mesure de l'avancée de l'ouvrage.

Mais l'été fut chaud, très chaud ... et l'alpaga tient chaud ! 

Je l'ai repris en octobre, au retour des vacances grecques, où il me permit de rester dans une autre gamme de bleu ... 

Le voilà terminé ET bloqué ! 

Merci Muriel de m'avoit tant incitée à bloquer mes ouvrages ... Les points sont tellement mieux mis en valeur :) 

Lors de notre visite du Musée-Maison de Balzac, nous avions déjeuné dans le café tenu par Rose Bakery et nous avions dégusté une succulente quiche aux poireaux-fenouil-feta. Ce mélange nous avait séduit et j'ai décidé de reproduire ce plat au retour à la maison 

J'ai pris : 

une pâte à feuilletée roulée 
un gros fenouil
2 poireaux 
1 oignon 
125 g de feta grecque bio (1/2 bloc) 
2 œufs
10 cl de crème fraiche
15 cl de lait

Laver et éplucher les poireaux, l'oignon et le fenouil
Couper les poireaux en fines rondelles et faire suer dans une poêle 
Emincer finement l'oignon et le fenouil et rajouter dans la poêle avec les poireaux
Laisser cuire à feu moyen jusqu'à ce que les légumes soient cuits. Réserver jusqu'à ce qu'ils aient refroidi
Préchauffer le four à 210°
Battre les œufs avec la crème et le lait, y ajouter les légumes 
Etaler la pâte (en gardant son papier de protection) dans un moule métallique
Y verser du tapioca (pour éviter que la garniture ne détrempe trop la pâte)
Verser la garniture sur le tapioca, Egaliser 
Enfourner pour 45 minutes 

Laisser refroidir sur une grille 
Déguster tiède ou froid