Lorsqu'on n'en était encore qu'au début du confinement, j'ai eu envie de varier les recettes de riz, et éviter les risottos en l'absence d'accès aux légumes de printemps ...

Les newsletter des sites de cuisine tombaient à pic, et après la cuisine de Bernard, j'ai trouvé celle-là sur le site c'est ma fournée ! 

Je l'ai simplifiée et adaptée à mes placards confinés et on s'en est régalés ! 

Voilà ma version, j'ai pris :
un bol (~200 g) de riz basmati cuit (j'ai fait l'impasse sur le riz noir) 
une poignée de raisins secs
1/2 boîte de pois chiche 
1 gros oignon 
1 cuillère à soupe de poudre de curry 
1 cuillère à soupe de cumin moulu (je n'ai plus de graines entières) 
de l'aneth et de la coriandre surgelées (à défaut de 2 cuillères à soupe de chacune des herbes ciselées : aneth, coriandre et persil) 

Plonger les raisins dans un bol d'eau très chaude pour qu'ils gonflent le temps de préparer le reste de la recette.
Eplucher et émincer finement l'oignon
Le faire frire dans 2 cuillères à soupe d'huile sur feu vif. Réserver sur une assiette 
Déposer une cuillère à soupe d'huile dans une petite poêle. Ajouter le curry et le cumin et laisser chauffer un peu avant d'y incorporer les pois chiche.
Saler et faire revenir 2 minutes.
Mélanger le riz et les raisins, ajouter les pois chiche (le riz va jaunir) 
Verser les herbes ciselées et l'oignon frit. 
Bien mélanger
Poivrer et rectifier éventuellement l'assaisonnement  
 

En ce printemps confiné, je poursuis la publication des photos de bleu, majoritairement grec, ce bleu qui me manque tant depuis notre retour de Grèce,ce bleu grec qui enchanta mes vacances ... en attendant de repartir ... 

Le bleu du ciel, de la mer, des objets ... 

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par des premiers-plans d'autres couleurs ... 

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd'hui, une bougainvillée blanche des jardins de notre hôtel d'Archaia Epidavros

Ce programme de mai, comme les précédents, combine livres papier et livres électroniques. 

J'ai profité du confinement pour plonger dans mes Billy et dans la pile au pied du lit, pour en extirper des romans oubliés, voire un recueil de nouvelles tout fin, entamés depuis belle lurette !  

Voilà donc ce programme avec, en version papier, un roman de Camilla Läckberg, un thriller italien, un poche en anglais, un recueil de nouvelles de Marguerite Yourcenar, et un court roman de Stephan Zweig en version bilingue, que j'essaierai de lire en allemand (vœu pieux depuis notre retour de vacances berlinoises en 2016 !) .

Côté électronique, il intègre des craquages, récents ou pas, et des emprunts à la bibliothèque numérique de la ville de Paris qui, en ces temps de confinement, a presque doublé le nombre de livres empruntables mensuellement. 

Ce programme sera sûrement complété de nouveaux ouvrages empruntés en bibliothèque numérique, retrouvés au fond des Billy, voire enfin exhumés de ma Pile-a-Lire !

A suivre, début juin, pour savoir ce qu'il en aura été ! 

Un ET géant, découvert aux abords de la rue Mouffetard, un soir de septembre 2019, alors que je rentrais d'un café-tricot au Sweet-spot Café ! 

Un matin de début mars (où nous n'étions pas encore confinés), nous avions eu l'idée d'aller visiter "La piste des Géants" ... mais, en hiver, elle n'ouvrait qu'à 13 heures ...

Alors nous avons fait le tour du site, aperçu un flamant en construction, une maison de la Radio et ... un wagon postal, liaison entre Poste ferroviaire et poste aérienne !

Nous retournerons le visiter ... un jour !    

Un petit tour à Nauplie, avec cette armoire électrique décorée découverte lors de nos dernières vacances dans le Péloponnèse, en octobre 2019 

A partir d'un drap housse bien usé, et même un peu déchiré, mais qui comportait encore de belles parties en bon état, j'ai réalisé cette collection de pochons, tout prêts pour accueillir de futurs ouvrages ! 

En complément, j'ai fabriqué une petite pochette à partir d'un morceau de torchon bien usé. Elle a la taille idéale pour accueillir aiguilles à coudre, fil et ciseau !   

A suivre pour voir leur utilisation! 

Début mars, j'ai enfin trouvé une pintade au supermarché paysan de Belberaud ... et j'ai donc pu réaliser cette recette de ma mère, copiée il y a une trentaine d'années dans mon carnet vintage.

La bête achetée étant un peu trop grosse pour nous deux, j'ai choisi de la découper et de congeler les deux suprêmes qui serviront plus tard pour une autre recette.

Pour cuisiner le salmis, j'ai pris : 
la pintade découpée
son cœur et son foie
3 oignons
une grosse cuillère de farine 
1/2 litre de vin blanc sec 
1 petite boîte de champignons de Paris

Eplucher let émincer les oignons.
Hacher finement le cœur et le foie de la pintade
Faire revenir les morceaux de pintade dans une cocotte où ont chauffé 2 cuillères à soupe d'huile 
Retirer quand les morceaux sont bien dorés
Verser les oignons dans la cocotte, avec une cuillère à soupe d'huile. 
Quand ils sont translucides, tendance dorée, ajouter la farine et bien enrober
Verser le vin blanc, bien mélanger, faire prendre un bouillon, et incorporer le hachis de foie et de cœur ainsi qu'une petite boîte de champignons de Paris.
Bien mélanger.
Remettre la viande dans la cocotte et laisser mijoter à feu doux pendant plusieurs heures. 
 

Servir avec des pommes de terre vapeur ou du riz.

En ce printemps confiné, je poursuis la publication des photos de bleu, majoritairement grec, ce bleu qui me manque tant depuis notre retour de Grèce,ce bleu grec qui enchanta mes vacances ... en attendant de repartir ... 

Le bleu du ciel, de la mer, des objets ... 

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par des premiers-plans d'autres couleurs ... 

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd'hui, retour dans la presqu'île de Methana ...

Fin novembre 2019, nous avons eu la chance de visiter l'exposition Charlotte Perriand à la Fondation Vuitton 

Cette architecte / designeuse / photographe a inventé des meubles désormais familiers, aux lignes épurées en acier et cuir, ces formes rondes qui furent à la pointe de l'innovation quand, en 1927,  elle créa "le bar sous le toit", alors qu'elle avait à peine 24 ans ! 

Elle a collaboré avec des architectes et des artistes, a vécu au Japon et a retranscrit dans ses œuvres le minimalisme des intérieurs japonais.

Elle a également travaillé sur l'utilisation de matériaux alternatifs à l'acier et au cuir pour reproduire en diverses essences de bois la chaise longue emblématique de ses créations.

Une expo passionnante qui nous a permis de découvrir l'amplitude de ses productions et leur évolution tout au long de sa longue vie 

Pour en savoir davantage, je vous recommande une série de documentaires qu'Arte lui a consacrés