Cela fait plus de 50 ans que je porte des lunettes, au moins 40 que je suis passée aux verres photochromiques, ce qui fait que je n'ai plus besoin de lunettes de soleil, et une bonne quinzaine d'années, qu'habituée aux verres progressifs, je les conserve sur le nez toute la journée passant sans problèmes de la vision de loin à celle de près :) 

Alors ... pourquoi un étui à lunettes ? 

Pour les protéger, les rares fois où je les enlève (pour dormir en avion, lors des séances chez le coiffeur) ... 

mais le plus souvent pour transporter celles de l'Homme qui alterne solaires et lunettes de vision de près ! 

Bref, avant de partir en vacances grecques, je me suis fabriqué un nouvel étui à lunettes avec un morceau de vieux drap en lin et une chute de Liberty.

La poche extérieure est parfaite pour y glisser des lingettes nettoyantes de chez Muji (les plus efficaces)     

Encore une recette d'Isabelle Guerre, découverte dans le magazine Saveurs du mois de mars, et adaptée (je n'ai pas enfilé les filets de poulet sur des brochettes !) dont on s'est régalés juste avant le départ en vacances !

J'ai pris : 
pour la marinade
2 cm de gingembre frais 
1 tige de citronnelle 
1 c. à soupe de curry 
5 c. à soupe de lait de coco 
1 c. à café de sel 
1 c. à café de sucre 
500 g de blancs de poulet 
Pour la sauce satay : 
20 cl de lait de coco 
125 g de cacahuètes grillées salées 
3 c. à soupe de jus de citron vert
2 c. à soupe de sucre en poudre 
1 c. à soupe de piment d'Espelette (je n'avais ni purée de piment ni sauce sriracha) 
Pour servir : Salade sucrine, coriandre(j'ai zappé le concombre et la menthe) 

Peler et râper le gingembre.
Peler la tige de citronnelle, retirer la partie haute pour n’en garder que 10 cm et ciseler finement la base du bulbe.
Mélanger le tout avec le curry, le lait de coco, le sel et le sucre. 
Couper les blancs de poulet en lanières et faites-les mariner dans le mélange précédant pendant 5 min. 

Préparer la sauce 
Mixer les cacahuètes en poudre fine. 
Faire chauffer le lait de coco, ajouter les cacahuètes et les autres ingrédients.
Mélanger à feu doux jusqu’à ce que la sauce épaississe soit environ 5 minutes. 
Faire griller le poulet sur un gril en fonte, une poêle anti adhésive ou au barbecue pendant une dizaine de minutes en les retournant régulièrement. 
Servir les brochettes avec la sauce pour les tremper et la salade, les herbes et, éventuellement, le concombre en tranches. J'ai ajouté un reste de riz blanc qui se mariait très bien avec la sauce. On s'est régalés ! 

Au menu de juin, un assortiment regroupant des livres inscrits mais non lus les mois précédents, quelques livres de poche qui accompagneront les déplacements, dont des craquages récents ! 

Ils seront très certainement rejoints par des emprunts à la médiathèque et des livres numériques stockés dans ma liseuse, voire de craquages, sans oublier les livres prêtés par l'Enfant et des amies et qui attendent le 'bon moment' !   

Voilà la dernière fournée de ces œuvres de street-art, dénichées début mars, un jour où nous avions exploré le quartier de la Butte-aux-cailles.

A suivre ... 

Découvert en novembre 2018 lors d'une balade dans un quartier chic, j'ai trouvé cet Invader accompagné d'une jolie montre ... qui ne dévoilait pas sa marque pour ne pas faire de jaloux 

Mi-avril, nous sommes (enfin) allés visiter le Musée Georges Labit, le musée toulousain d'arts asiatiques, associé au Musée Guimet parisien. 

Georges Labit était un grand voyageur et ethnologue toulousain qui a rassemblé une collection d'objets d'extrême orient, regroupés dans un musée et qu'on rejoint depuis nombre de dons. Le Musée abrite également des dépôts en provenance du Musée Guimet ce qui en fait un lieu très complet.

On y a admiré des statues et bas-reliefs religieux, représentations de Bouddha en provenance d'Inde, Pakistan, Birmanie et Thaïlande ...  

mais aussi des porcelaines, une étonnante grue japonaise et de superbes statuettes ...

bien protégées de la lumière dans des tiroirs, se trouvait une importante collection d'estampes japonaises 

A l'étage, nous avons trouvé les collections égyptiennes, dont un magnifique sarcophage ... 

 Bref de splendides collections 

Malgré le temps maussade, nous avons fait un tour du jardin où nous devrons revenir quand il fera meilleur ... 

Voir les orchidées sauvages devant le portail m'a donnée l'idée d'explorer le jardin à la recherche des orchidées ... 

Et bien m'en a pris puisque j'en ai déniché en trois endroits différents ! 

Voilà tout d'abord celles qui se sont regroupées ...

et puis la solitaire, à l'autre bout du jardin ! 

L'assiduité sur cet ouvrage lors des cafés-tricot des mois d'avril et mai a payé ! 

Vela est enfin terminée - presque trois ans après l'avoir démarrée, le 31 juillet 2016 (merci Ravelry !) 

J'ai un tout un petit peu réduit la bordure dentelle car je craignais (certainement à tort) de ne pas avoir assez de laine pour finir cet ouvrage ... 

Reste à le bloquer ... puis à le porter !

Depuis des dizaines d'années, lorsque je préparais du lapin à la moutarde, j'enduisais les cuisses de la bête d'un mélange de moutarde forte et de crème fraîche puis le les enfournais à 200° pour un certain temps ... le plus souvent un peu trop long ! 

Mi-avril, j'ai profité d'une promotion sur le lapin dans le supermarché paysan où j'ai mes habitudes, et j'ai légèrement compliqué la préparation pour obtenir un résultat bien meilleur ! 

J'ai pris (pour 2) : 

2 cuisses de lapin 
3 cuillères à soupe de moutarde forte (L'Originale de Maille) 
1 cuillère à soupe de moutarde à l'ancienne (avec beaucoup de graines) 
3 échalotes
15 cl de crème fraîche
1/2 verre de vin blanc sec (Muscadet) 

Préparer la marinade en mélangeant 10 cl de crème fraîche et 2 cuillères à soupe de moutarde 
Désosser les cuisses et couper en morceaux de la taille d'une bouchée. Les enrober de marinade.
Peler et émincer les échalotes. 
Verser une cuillère à soupe d'huile dans une cocotte et faire dorer les morceaux de lapin. 
Retirer de la cocotte ert réserver.
Rajouter un peu d'huile dans la cocotte, faire légèrement revenir les échalotes, verser le vin blanc et 1/2 verre d'eau et bien gratter les sucs qui ont accroché au fond.
remettre le lapin dans la cocotte et laisser cuire à couvert pendant une dizaine de minutes. Vérifier la cuisson. 
Mélanger dans un bol, une cuillère à soupe de moutarde forte, la moutarde à l'ancienne et 5 cl de crème fraîche, du sel et du poivre. Verser dans la cocotte et laisser cuire à découvert 5 minutes.
J'ai accompagné de plat de boulgour cuit 10 minutes dans de l'eau bouillante salée .

On s'est régalés ! 

Lors du séjour parisien du mois d'avril, nous sommes retournés visiter le Musée Guimet ... 

Nous y étions de bonne heure, un matin en semaine où il y avait peu de visiteurs, et nous avons pu traîner à notre guise dans les salles de chaque étage, voyageant dans toute l'Asie, découvrant les différentes représentations des divinités ...

avant de partir admirer les si fines et expressives miniatures chinoises nous emportant sur les routes de la soie  et regrettant que la boutique ne vende pas de reproductions de ces bols en forme de fleurs qui me plaisent tant ! ...  

Après un déjeuner au restaurant (asiatique, of course) du musée, nous avons découvert les splendides photographies de Jean Baptiste Huynh : portrait, natures mortes, plantes, fleurs et la magnifique mise en scène des photographies de miroirs anciens de la collection du musée que je vous encourage vivement à aller voir.