paris

On peut apercevoir de grands oiseaux, telle cette grue cendrée perchée tout en haut d'un arbre du jardin des Impressionnistes et qui semblait faire ses étirements, un matin glacial de début février  

Lors du séjour parisien du mois de septembre, nous sommes retournés au Musée d'Orsay (Merci la Carte Blanche qui nous permet d'y aller de façon illimitée pendant un an !), pour revoir les toiles des impressionnistes et découvrir leur nouvel accrochage après l'exposition consacrée au Premier Salon de 1874.

Parmi celles que nous avons redécouvertes, cette vue d'Etretat par Claude Monet. 

Je me suis amusée à la zoomer pour découvrir les nombreux détails, les promeneurs sur la plage, les voiles des barques de pêcheurs...

11 jours à Paris, ce fut : 

4 jours de garde de Mademoiselle, sa nounou étant malade, avec des jeux, des lectures, des balades à St Germain en Laye, un repas au restaurant, au Parc des impressionnistes pour voir poissons et canards, à l'aire de jeux près de chez elle, et des cheesecakes partagés (ou chipés) à son grand père

3 jours avec ses parents ponctués de parties de jeux de société (A column of fire, Les aventuriers du rail, Trio, Seasons), de bons repas, d'une grande balade à Paris avec un déjeuner dans un pub irlandais

La découverte d'un nouveau restaurant, Orphée, avec une amie et son compagnon, pas vus depuis bien longtemps.

La visite de l'exposition sur L'âge atomique au musée d'art moderne de la ville de Paris, avec une amie dont le passage à Paris correspondait enfin avec le nôtre.

Un repas napolitain avec une amie scéenne, dans ce restaurant italien où nous nous retrouvons à chaque séjour.

Des cours passionnants au Collège de France, notamment ceux où Stanislas Dehaene nous a fait découvrir le mode d'apprentissage des graphiques ainsi que leur histoire.

11 jours bien trop courts ! 

Une armoire électrique décorée d'un Anubis un peu psychédélique se cache en contrebas de la place Verlaine, à deux pas de la piscine de la Butte aux Cailles 

A l'instar des chemins de Saint Jacques matérialisés par la coquille éponyme, le blason de Marie de Médicis permet de suivre le tracé de l'aqueduc Médicis, qui alimentait les fontaines du Parc du Palais du Luxembourg ...

Aujourd'hui il ne va plus que jusqu'au Parc Monsouris. 

Je vous avais déjà parlé des aqueducs parisiens dans cet article. 

On découvre des points de vue inédits sur les nouvelles constructions parisiennes 

Selfie ? 

A la recherche de réseau ?

Mais quelle attitude anachronique pour cette statue du XVIème siècle, débusquée à la Cité de l'Architecture !

Wikipedia m'a appris que cette statue, nommée "Le Transi de René de Chalon, également appelé le Squelette, est une statue funéraire en pierre calcaire de Sorcy réalisée au XVIe siècle.
Œuvre majeure de Ligier Richier et de la Renaissance en France, cette sculpture est installée en 1545 dans la collégiale Saint-Maxe du château des ducs de Bar sur le tombeau de René de Chalon, prince d'Orange, tué lors du siège de Saint-Dizier un an plus tôt.
En 1790, à la suite de la destruction de la collégiale sous la Révolution, le transi est déménagé dans l'église Saint-Étienne.
Représentant un squelette debout, tendant son cœur à pleine main vers le ciel, cette œuvre est issue d'une série de transis apparue dans la seconde moitié du XIVe siècle"

On découvre la mémoire des crues du passé ... 

et même de certaines plus récentes 

Lors du séjour parisien du mois de septembre, nous sommes retournés au Musée d'Orsay (Merci la Carte Blanche qui nous permet d'y aller de façon illimitée pendant un an !), pour revoir les toiles des impressionnistes et découvrir leur nouvel accrochage après l'exposition consacrée au Premier Salon de 1874.

Parmi celles que nous avons redécouvertes, la danse à la campagne d'Auguste Renoir 

Je me suis amusée à la zoomer pour découvrir les nombreux détails, les fleurs imprimées sur la robe, la position des mains, les  chaussures qui pointent sous l'ourlet de la robe, la collation sur la table adjacente  ...

A suivre ...

Quand je me promène dans Paris (souvent) ou ailleurs (plus rarement), j'ai souvent le nez en l'air à la recherche d'œuvres d'Invader ou de particularités architecturales.

Au numéro 64 de la rue Saint André des arts, à l'angle de la rue Mazet, dans une niche à l'angle du mur j'ai débusqué une statue en pierre , représentant Saint-André, tenant dans ses bras devant lui la croix de son supplice.