Un mois qui a commencé avec un grand soleil après plusieurs jours où le brouillard ne se levait pas.
Un début de mois plombé par le retour programmé de l'Homme à l'Hôpital, pour une nouvelle exploration, plus invasive cette fois, visant à découvrir les causes de l'infection qui l'avait mis au plus mal fin octobre. Cette intervention n'a finalement pas eu lieu, les analyses étant revenues à la normale.
Un mois où où nous avons cuisiné, à deux mains ou à quatre, des recettes roboratives visant à continuer de remplumer l'Homme, des recettes classiques (soupe de pois cassés, pot-au-feu, chicken soup, mini pizzas, sandwiches saumon fumé/concombre, linguine au haddock, spaghetti à la poutargue, gratin de pâtes aux poissons et aux moules, daube de joue de bœuf au vin rouge, ), revisitées (Cullen skink v2025, Tarte épinards-poireaux-haddock).
Un mois de bons repas au restaurant : à Toulouse, à l'Enclos, il Popolo, Les trois Brasseurs et Tokami ; à Saint Germain en Laye, Les fistons, à Rueil, Pizza phone
Un mois où j'ai beaucoup lu, avec 22 livres, dont je retiens Impardonnable de Mathieu Ménégaux, Un avenir radieux de Pierre Lemaitre
Un mois où je me suis replongée dans des recherches généalogiques, pour compléter l'arbre de Mademoiselle avec les premières données communiquées par son père.
Je me suis ainsi promenée dans des départements où je crois n'être jamais allée en passionnantes balades dans leurs archives numérisées complétées par les différentes bases de données de Geneanet, qui fourmillent de bonnes pistes.
Un mois où nous sommes revenus à Paris, pour dix jours très agréables où nous avons gardé Mademoiselle pendant la grippe de sa nounou, avons partagé de nombreux moments et des parties de Trio, Les aventuriers du rail et de 'A column of fire' avec ses parents.
Nous avons également retrouvé des amies, pour des repas partagés et une visite d'exposition, ainsi que le Collège de France pour les cours passionnants de Stanislas Dehaene sur "La perception des graphiques : un nouvel exemple de recyclage neuronal".