Publié le 7 Février 2007
Une amie de Marie, étudiante à Sciences Po Toulouse, et commentatrice assidue de ce blog, réalise actuellement une étude sur l'impact dans la société des controverses scientifiques, en s'appuyant sur la dernière en date qui concerne la nouvelle définition des planètes.
La première conséquence de cette nouvelle définition a été le déclassement de Pluton qui a perdu son statut de planète. Le système solaire ne compte donc plus que 8 planètes.
Pour répondre à son sondage, je vous remercie de cliquer là.
Edit de 15h10, précisions apportées par Audrey dans les commentaires à cet article, mais qui seront plus lisibles ici :
Bonjour,
Je suis l'une des étudiantes qui a réalisé le questionnaire sur Pluton. Je suis navrée que vous ayez jugé ces questions "superficielles". ..
En réalité, nous nous intéressons à la controverse au sein du champ scientifique. Nous avons donc étudié l'histoire de cette controverse (qui a toujours existé depuis 1930, date de la découverte de Pluton), la décision de l'UAI qui l'a remise au goût du jour, les différents acteurs qui y ont pris part (scientifiques, majoritairement américains) ainsi que leurs arguments respectifs. Nous avons donc envoyé un questionnaire plus poussé à de nombreux astronomes/astrophysiciens américains et français.
Par contre, nous nous sommes moins intéressées à la France, dans la mesure où la décision de l'UAI est passée plutôt inaperçue parmi la population. Ainsi, quasiment personne n'a réagi publiquement à l'annonce du déclassement de Pluton le 24 août 2006 - et beaucoup ne sont toujours pas au courant - contrairement aux Etats-Unis où ont eu lieu de nombreuses manifestations.
Le but était donc de connaître le pourcentage de personnes au courant de cette décision - donc de réaliser un questionnaire court afin d'obtenir davantage de réponses.
Mais, aux vues de vos demandes, nous allons ajouter un espace ouvert pour vos commentaires (pour ceux qui ont déjà répondu au questionnaire, vous pourrez seulement ajouter votre avis).
Par ailleurs, je ne préfère pas laisser mon adresse e-mail sur Internet.
Je vous remercie.
Audrey Garric