Publié le 5 Décembre 2015
Pour ma troisième visite nocturne au Louvre, mi-octobre, j'ai choisi de me perdre ...
En me glissant derrière la victoire de Samothrace, j'ai rejoint le deuxième étage de l'aile Denon puis l'aile Richelieu et je suis tombée sur de nouvelles pépites de la peinture française du XIXème siècle, retrouvant la mort de Marat devant un portrait réalisé par Elisabeth Vigée Lebrun ... et auprès d'un Picasso qui visitait souvent ces salles-là !
Et découvrir une salle étonnate où les siècles se mélangent avec des pantoufles hollandaises, le tricheur à l'as de carreau de Georges de La Tour, des paysages impressionnistes et des vues vénitiennes ...