le blog de Bill et Marie

Inspirée par une recette croisée sur Facebook, j'ai réalisé récemment cette brioche parfumée

J'ai pris:

300 g de farine

40 g de sucre

1 càc de sel

un sachet de levure de boulanger

120 ml de lait tiède

1 oeuf

50 g de beurre mou

Puis, pour la "farce " :

80 g de beurre mou

5 càs de cassonade

cannelle, cardamome en poudre (selon votre goût)

Mettre la farine, le sucre et le sel dans un saladier.

Faire un puits au milieu et verser un sachet de levure de boulanger déshydratée.

Couvrir avec le lait tiède.

Mélanger puis ajouter l'œuf battu.

Mélanger jusqu'à avoir une pâte homogène. Incorporer le beurre mou coupé en morceaux.

Pétrir une dizaine de minutes puis laisser lever dans un endroit tiède jusqu'à ce qu'elle double de volume (1h-1h30)

Dégazer la pâte.

L'étaler au rouleau en rectangle.

Tartiner de beurre mou, saupoudrer de cassonade puis de cannelle et de cardamome .

Rouler en un long boudin puis couper des tronçons.

Déposer dans un plat beurré puis laisser lever de nouveau une heure .

Badigeonner de lait puis enfourner à 180° pour 25 minutes

Déguster :)

Il y a le Musée du Vin :)

Un coiffeur de mon village a changé de quartier l'année dernière ...

Après une longue inoccupation, ses anciens locaux abritent désormais un cabinet de pédicurie / podologie ...

Je trouve ça drôle :)

Nous ne nous lassons pas de Rome ....

Nous venons d'y retourner pour huit jours remplis de visites d'églises, de sites antiques, de villas

Huit jours de visites parfois inédites, parfois au hasard du calendrier qui nous ont permis d'accéder à des lieux ouverts une seule matinée par an ...

En attendant le détail de ces vacances, voici une mosaïque des meilleurs moments :)

A suivre ...

Un message laissé par un ouvrier dans les années 30 a été retrouvé dans son pot de confiture originel, lors des des travaux de rénovation du Musée de l'Homme

Il est aujourd'hui exposé dans le Musée, dans la salle expliquant les choix architecturaux de cette dernière rénovation.

Un ouvrier des années 2000 aura-t-il fait la même chose ... Réponse dans une cinquantaine d'années lors de la prochaine reconfiguration du Musée :)

Découvert un soir de février, avenue Niel, en chemin pour un restaurant napolitain ...

A accrocher au double de la clé de l'appartement de l'Enfant, un porte-clé de circonstance

Il a suffit de presque rien : quelques rubans trouvés chez Cultura, un bout de fil de lin et un anneau

Dans les années 90, l'Homme nous rapportait régulièrement des bouchons réunionnais confectionnés par l'épouse d'un de ses collègues parisiens ...

Depuis notre arrivée sur Toulouse nous n'en avions mangé qu'une fois, et c'est en en trouvant sur un marché albigeois un samedi de février que j'ai décidé de me lancer et d'en tester la réalisation ...

Quelques courses dans le supermarché asiatique voisin nous ont permis de trouver des carrés de pâte à raviolis, les citrons verts et le cuit-vapeur indispensables

Et un vendredi matin, je me suis lancée ...

Pour la farce, j'ai pris

des feuilles de ravioles (Won-Ton) trouvées au rayon frais d'un magasin de produits asiatiques

500 g de chair à saucisse

4 oignons nouveaux

2 cuillères à soupe de poudre de manioc (tapioca mixé)

4 cuillères à soupe de sauce soja

3 citrons verts

Sel et poivre du moulin

Mixer la viande avec les oignons, verser dans un grand bol

Ajouter la sauce soja, la poudre de manioc, le sel et le poivre, bien mélanger.

Râper les zestes de citron vert et incorporer au mélange

Former un rond avec votre pouce et l'index , y déposer une pâte à raviole, et avec l’autre main remplir de farce.

Ne pas fermer la raviole complètement, il faut que le dessus du bouchon reste ouvert, et déposez les bouchons dans un plat.

Pocher les bouchons 4 minutes à l'eau bouillante, puis les disposer.dans un cuit vapeur, sans trop les serrer, et les faire cuire environ 45 minutes.

Au moment de servir, faire réchauffer - toujours à la vapeur - pendant une quinzaine de minutes

Pour finir, servez-les avec de la sauce soja sucrée, de la sauce chili gingembre ou encore de la sauce sweet chili.

Ce que j'aime au Louvre, c'est qu'on peut s'y perdre ...

Pour aller d'une salle à une autre, pour passer de l'aile Sully à l'aile Denon; il y a des tas de possibilités : au travers des salles et escaliers principaux où trône, par exemple, la Victoire de Samothrace ... escaliers en colimaçon qui ont dû abriter complots et affaires secrètes quand le Louvre était Palais Royal, voire même les souterrains qui contournent les vestiges du Louvre Médiéval.

Lors de l'une de nos dernières visites, nous sommes ainsi retrouvés par hasard au milieu des Antiquités Égyptiennes

A suivre pour une visite approfondie ... un prochain mercredi soir :)

En août dernier, j'ai troqué mon bureau toulousain étriqué et sans vue pour un bureau à La Défense (presque aussi petit et partagé) mais m'offrant une vue sans limites sur l'ouest de Paris ...

Autre avantage, la vision quotidienne de levers de soleil sur l'Arc de Triomphe ou la Tour Eiffel ...

Une zone de travail que j'ai décorée à ma sauce avec, en particulier, ce poster d'un tableau de Salvador Dali, offert par une amie il y a une vingtaine d'années, et en fond d'écran de mon ordi une vue des jardins de Yialasi, notre hôtel d'Archea Epidavros ....