le blog de Bill et Marie

Un samedi de février où je cherchais une idée de gâteau, j'ai ouvert le livre 'Mamie Gâteaux' acheté il y a bien longtemps, et, à la demande de l'Homme,  je me suis lancée dans la confection d'un gâteau roulé. 

J'ai pris : 

3 œufs
30 g de farine
50 g de fécule de pommes de terre
120 g de sucre en poudre (c'est trop) 
1 pincée de sel 
un pot de confiture de votre choix (j'ai pris fraises) 
du sucre glace pour poudrer le gâteau (je m'en suis abstenue) 
20 g de beurre pour le moule (je ne l'ai pas mis, mon moule étant en silicone, mais j'aurais dû) 

Préchaufer le four à 150°
Casser les œufs en séparant les jaunes et les blancs. Réserver les blancs
Verser le sucre sur les jaunes et battre jusqu'à ce que le mélange blanchisse et devienne mousseux 
Ajouter la farine et la fécule tamisées dans ce mélange et bien incorporer le tout 
Battre les blancs en neige ferme avec la pincée de sel
Incorporer délicatement au mélange précédent 
Beurre le moule et verser la pâte en lui faisant prendre une épaisseur uniforme
Faire cuire environ 15 mn jusqu'à ce que le dessus soit légèrement doré mais que le gâteau soit moelleux 
Retourner la pâte sur un linge humidifié, y étaler la confiture et rouler en s'aidant du linge et en serrant bien 
Laisser refroidir, poudrer éventuellement de sucre glace 
Déguster :) 

Déniché lors de notre séjour parisien de décembre 2017, cet Invader aperçu, la première fois, depuis le bus 62 !   

Sur les hauteurs d'Egine, au hasard de nos promenades, nous avons trouvé des armoires électriques et autres bâtiments techniques décorés de superbes fresques réalisées par un peintre d'Egine nommé Γιάννης Σανταντόνιο [Iannis Santadonio] malheureusement décédé, comme me le signalait Liza après la parutiondu premier de ces transformateurs électriques   ...

En traînant sur Facebook, j'ai découvert une nouvelle façon de réaliser les spanakopita, ce feuilleté grec aux épinards dont ma version ne ressemblait pas tout à fait à celles que nous dégustons en Grèce. 

Cette fois, on s'y croyait :) 

J'ai pris : 
500 g d'épinards en branches surgelés (surtout pas des hachés !) 
1 poireau
de l'aneth (en cette saison : surgelé) 
125 g de feta (mais l'Homme aurait préféré le double) 
1 œuf
un paquet de feuilles de pâte filo 
sel poivre 

Faire décongeler les épinards puis les presser entre vos mains pour en extirper le plus d'eau possible
Préchauffer le four à 200°
Eplucher le poireau et le couper en tout petits morceaux, les faire fondre dans une casserole
Mélanger les épinards, le poireau cuit, la feta émiettée et l'aneth
Ajouter le jaune d'œuf et bien amalgamer 

Etaler une feuille de pâte filo sur le plan de travail, l'huiler au pinceau
La recouvrir d'une deuxième feuille, l'huiler également 
Déposer le mélange d'épinards sur le bord de la feuille et rouler pour obtenir un boudin allongé
Enrouler ce boudin en forme d'escargot sur la plaque du four recouverte de papier sulfurisé
Recommencer jusqu'à épuisement des ingrédients (j'ai réalisé 3 boudins) en juxtaposant les boudins les uns à la suite des autres.
Huiler légèrement le dessus de l'escargot 
Enfourner pour 25 minutes. 
Déguster :) 

Même si je n'ai pas autant lu qu'en janvier, mes lectures de février m'ont permis d'avancer sur mes challenges de lectures avec, pour ce mois : 

-  8 auteurs de nouvelles nationalités différentes 

-  2 lettres du challenge ABC des noms de famille d'auteurs 

-  10 items du challenge des 75 lectures :   

12 : un roman en anglais : David BALDACCI, The innocent

17 : un manga : J.P. NISHI, Paris, le retour !

27 : Un roman d'un auteur que tu n’as pas encore lu  : Omar SHAHID HAMID, Le prisonnier

29 : un roman d’un auteur d’une nationalité jamais lue  : Dario JARAMILLO AGULEDO, Mécanique d'un homme heureux

38 : Un livre de moins de 150 pages : François BEGAUDEAU, Jouer juste

40 : un roman irlandais : Maeve HARAN, What became of you my love ?

44 : Un roman canadien : Emily ST. JOHN MANDEL, On ne joue pas avec la mort

59 : un roman qui évoque la cuisine ou un livre de cuisine : Michèle BARRIERE, Mort à bord

68 : un ouvrage  de self-help ou bien être : Serge MARQUIS, On est foutu, on pense trop

69 : un livre avec des chiffres dans le titre : Marta BATALHA : Les mille talents d'Euridice Gusmao

Et donc, à fin février, j'ai lu  

-  18 nationalités différentes d'auteurs

-  11 lettres du challenge ABC des noms de famille d'auteurs 

-  22 items du challenge des 75 lectures !  

Une matinée au temps frisquet mais splendide, qui nous a permis d'admirer le départ d'un ferry pour l'Angleterre depuis notre terrasse avant de partir à Cancale ... 

... déjeuner chez la Mère Champlain 

nous promener sur le port, dans une rue où la majorité des restaurants étaient fermés pour l'hiver 

La lumière était superbe ... et, selon l'orientation la mer était bleue ou grise 

Sur le retour une halte à Rothéneuf pour marcher en bord de falaise jusqu'à la chapelle Notre Dame des Flots ...   

puis les plages du Havre de Rothéneuf où la marée remontait peu à peu ...

Le gilet continue d'avancer à un bon rythme, au fil du visionnage de séries ... malgré quelques frayeurs quand des mailles s'échappent  :) 

Le pire a été rattrapé sans dommage :) 

A suivre ...

Le Coronation chicken ou 'poulet du couronnement' est une salade britannique à base de poulet cuit dans un bouillon parfumé, de mayonnaise, de crème, de curry et de raisins secs, inventée à l'époque du couronnement de l'actuelle souveraine et qui se consomme en salade ou en sandwich. 

Je m'en suis confectionnée une récemment, à la fainéante, avec les moyens du bord et surtout du congèl ! 

J'ai pris 
des morceaux de chapon cuit (congelé le 25 décembre) 
une cuillère à soupe de mayonnaise de bonne qualité
une cuillère à soupe de crème fraîche 
une cuillère à café de poudre de curry 
une petite poignée de raisins secs réhydratés dans de l'eau chaude 

Couper les morceaux de chapon en petits cubes
Ajouter les autres ingrédients
Bien mélanger
Servir sur des feuilles de salade 
Déguster :)   

Déniché un soir de décembre 2017, sur un des piliers de la ligne 6, juste en face du Journal Le Monde, cet Invader protecteur de fichiers ...  

A l'instar des vaches de la Cow Parade, ou des mustangs d'Ogden, dans l'Utah, des ours décorés se dressent dans tous les coins de Berlin ... 

Pour clôturer la série de ceux que j'ai débusqué lors de nos vacances de juin 2016, voilà l'ours emblématique porteur des armes de la ville :) 

Pour revoir les autres, vous pouvez cliquer sur leur numéro : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10  

Et pour tout savoir, du pourquoi, du comment, de l'ours berlinois ... il suffit de demander à Karambolage d'Arte :)