Je fréquente Alison Lurie depuis les années 80 et la parution de "Liaisons étrangères" en 1984.

Ce livre narre les aventures de deux universitaires américains venus passer six mois à Londres.
L'une est spécialiste du folklore enfantin. Elle se fait une joie de son séjour à Londres. Célibataire endurcie et anglophile à l'extrême, elle souhaite ne pas revoir un compatriote sans raffinement rencontré dans l'avion.
L'autre, trés beau, est professeur à l'université de Corinth. Récemment séparé de sa femme, il est seul à Londres. Il a du mal à apprécier cette ville, jusqu'au moment où il rencontre  une actrice de télévision à succès.
On découvre au fil du livre qu'une femme laide en fin de carrière n'a pas la même perception du monde qui l'entoure qu'un jeune homme beau et plein d'avenir...
J'avais tellement aimé ce roman à l'époque que je l'avais offert à de nombreuses personnes et j'avais peu à peu acheté tous les romans d'Alison Lurie en VO.

J'avais ainsi été enchantée par 'The nowhere city' ("la ville de nulle part") ou la découverte de la tentaculaire Los Angeles par des universitaires émigrés de la Côte Est des USA.

 

'The war between the Tates' ("Conflit de famille") relate en parallèle les difficultés conjugales d'un couple et les stratégies politico-militaires du conflit vietnamien ...

 

J'avais un peu moins aimé 'Un été à Key West' paru en 1999 ... dont le ton était moins incisif, plus complaisant ...

J'ai terminé 'La vérité et ses conséquences' mercredi dernier.
Emprunté à la bibliothèque de L**, j'ai donc lu ce livre en français dans une traduction baclée, bourrée de fautes de style ('il souffrait le martyr' revient à plusieurs reprises), de fautes d'orthographe et même de coquilles typographiques (inversion de caractères dans un mot !) !
Les éditions Rivages m'avaient habituée à mieux !
Quant à l'histoire ... un peu vide, creuse et avec des longueurs.
Les atermoiements ses personnages principaux lassent rapidement !
Une seule scène pourrait sauver l'ensemble : c'est malheureusement celle narrée dans le premier chapitre ! Tout le reste va decrescendo.
Un bon point : il se lit très vite et ... je ne l'avais pas acheté ! !

Je vous mets quand même le mot de l'éditeur tel que l'a publié FNAC.COM :

... en looooooooooooooooooong week end de quatre jours !

Je m'envole vers 9 heures pour

Samedi soir je serai là :

pour assister à

Dimanche soir, je regarderai bien sûr la remise de la  

Entre temps :
- nous aurons revu Marie (après deux semaines sans rien d'autre qu'un lien téléphonique)
- nous nous serons promenés,
 -nous aurons fait les boutiques (il parait que c'est les soldes !)
           ... et surtout traîné dans  

En attendant de vous raconter tout ça ... je laisse le clavier à Marie car je serai sans connexion !

J'ai eu ce matin la dernière épreuve de mon avant-dernier concours. Ensuite, encore mercredi prochain et peut-être jeudi. Et puis mes oraux seront finis.

En fin de matinée, pour ne plus y penser, j'ai marché longtemps. J'ai même été au Louvre, mais c'était une erreur. Pourtant, un jeudi midi ... Mais il y avait trop de monde et j'en ai eu marre au bout d'une demi-heure ; j'ai ensuite mis un quart d'heure à trouver la sortie ... (je ne paye pas l'entrée, donc je ne culpabilise pas à l'idée de rester aussi peu :-) Pour moi, un musée, c'est un lieu où l'on peut trouver un peu de calme. Eh bien, ce n'était pas le cas aujourd'hui.

Ensuite, j'ai traversé pour la deuxième fois de la journée le Jardin des Tuileries pour reprendre le métro et aller à 'Grands Boulevards' dans une boutique de posters (passage Jouffroy) pour acheter l'affiche de Virgin Suicides. De là, j'ai descendu la Rue Montmartre jusqu'aux Halles où j'ai été à la Fnac (décidément, je n'aime vraiment pas cette Fnac :-/)

Les pieds en compote, je suis finalement rentrée pour regarder les deux premiers épisodes de la saison deux de "24 heures chrono" (j'ai fini la saison une hier :-) Puis mon amoureux est rentré et ... j'ai dormi pendant deux heures (le contre-coup ?)

Voilà une anecdote marrante, ça s'est passé mardi aprem, porte de Versailles. Une touriste m'interpelle et me demande où est le chateau de Versailles ! Je lui ai donc expliqué qu'elle n'y était pas du tout et qu'elle avait encore beaucoup de trajet à faire ! Pourtant, sur son plan, c'est le bon endroit qui était entouré ...

Il y a quelques temps, j'avais dit que je parlerai de mon TIPE. Le sujet de cette année était la dualité, j'ai donc cherché un sujet pouvant mettre en relief une dualité, lors d'une expérience. De fil en aiguille et après plusieurs contacts (à l'Université et dans une Ecole d'Ingé), j'ai obtenu un article dont je me suis inspirée pour réaliser une expérience, à savoir l'alkylation du phénol par le cyclohexène (heu ... j'ai déjà perdu la moitié de mes lecteurs là ?? ;-)

La réaction entre le phénol et le cyclohexène donne trois produits, un produit O-alkylé et deux produits C-alkylé. En gros, les produits obtenus sont constitués de deux cycles et :
* le produit O-alkylé lie ces deux cycles via un atome d'oxygène
* le produit C-alkylé lie ces deux cycles via un atome de carbone

La dualité vient du fait que le produit O-akylé se "transforme" en produit C-alkylé au bout d'un certain temps, or c'est le produit O-alkylé qui était intéressant ...

Raté ! ...Vous pensiez que j'allais vous parler de foot !

Et ben non ! C'est de la toute nouvelle série de Canal Plus dont je vais vous parler, même si ce matin Raymond Domenech a déclaré que les footballeurs sont "les gladiateurs des temps modernes" (sic) :

Les deux premiers épisodes ont été diffusés jeudi dernier (un jour sans foot : ouf !) et les deux suivants, c'est pour ce soir !

Tournée à Cinecittà, produite par les deux Grands du docudrama : HBO et la BBC, ça vaut franchement le détour.

Parmi les héros : rien que des gens connus :

César, qui a franchi le Rubicon et marche sur Rome en fin du 2^ème épisode

Marc-Antoine, fidèle allié de César et homme à femmes

Octave, qui deviendra grand

Je vous ai déjà parlé de Peter Robinson le 14 janvier dernier.

... ils sont , ils sont, Ils sont en finale !

Franchement il y a 3 semaines, je ne l'aurais pas cru ...

mais dimanche soir ce sera une finale toute bleue ...  

Pourvu que ça tienne encore 45 minutes ...

Depuis que je suis arrivée à Paris (le 19 Juin), je tiens une bonne moyenne de livres lus (7 pour être exacte), plus ou moins bien écrits, plus ou moins longs. Il y a même des chances pour que, ces dernières semaines, je me sois mise à lire davantage que Bill (c'est dire ! ;-). Malheureusement pour moi, Bill est rancunière (si si si ...) et c'est ainsi qu'elle m'a conseillée et acheté Les piliers de la terre, de Ken Follett, qui fait exactement 1050 pages, de quoi freiner ma moyenne de livres lus.

Je rechignais à le commencer ... ne voulant pas rentrer dans son piège ... tout en découvrant que c'était écrit assez petit ...

Je me lance, persuadée d'être lassée au bout de quelques pages et de délaisser le pavé. Et puis, honnêtemment, l'histoire a beau se dérouler en Angleterre, le XII^ème siècle ne fait pas vraiment partie de ma période préférée.

Eh puis, à mon grand malheur, le style est limpide, aucune phrase n'est de trop et au bout de trois pages je suis vaincue ... impossible de ne pas connaître la suite de l'histoire :-)

J'ai commencé dimanche soir et je n'en suis "qu'à" la 438^ème page ; je me rattrapperai plus tard de re-dorer ma moyenne de livres :-D

Non, je ne dirai pas Mothers know best ... mais je voulais que tu découvres Ken Follett, que j'ai découvert par hasard dans les années 80.
Je me souviens avoir alors dévoré toute sa production antérieure, du "code Rebecca", dont l'action se déroule en Egypte en 1942, aux 'Lions du Panshir', en Afghanistan pendant la guerre contre l'URSS (j'ai envie de le relire d'ailleurs à la lumière des évènements récents), en passant par "La marque de Windfield" ou "Le troisième jumeau" (sur le clonage).
Je crois avoir lu tout ce qu'il a écrit, en VF ou en VO. Sa production est inégale mais tous ses livres procurent un réel plaisir de lecture.

Quant au nombre de livres lus, tu me bats largement sur cette dernière quinzaine où je n'ai lu que 6 ouvrages !

edit : la suite de l'article est ici !!

J'ai découvert Jean-Paul Dubois avec La vie me fait peur et ... j'ai été un peu déçue.

La majorité de l'histoire se déroule alors que le narrateur se situe dans un avion en direction de Miami, où il va retrouver son père pour lui annoncer ... que sa femme vient de le licencier ! Jusqu'à l'atterrissage, il relate tous les évènements importants de sa vie, qui l'ont mené à se trouver dans cet avion. Finalement, j'ai préféré la partie qui a suivi l'atterrissage, je l'ai trouvée plus vivante.

Cependant,c'était agréable à lire, mais je suis restée un peu sur ma faim. Je n'abandonnerai pas Dubois pour autant.
J'ai bien envie de savoir ce qui peut se cacher derrière un livre qui se nomme Les poissons me regardent ....