paris

Repérés une première fois, un dimanche glacial de janvier, sur la boutique Vuitton des Champs Elysées, ces pois multicolores semblaient avoir été déposés par le pinceau de l'artiste japonaise, Yayoi Kusama, qui se penchait, au-dessus du bâtiment.

Début mars, nous avons découvert une statue géante de l'artiste, campée entre les bâtiments de la Samaritaine, qui semblait, là aussi, y projeter avec son pinceau des touches de couleur.

La collection 2023 de la marque porte bien évidemment ces pois multicolores !  

Un ET, aux airs de fantôme pacmanesque, débusqué fin juin 2022 dans le neuvième arrondissement où nous venions de nous ennuyer en assistant à la représentation de type fiction radiophonique de Zaï, Zaï, Zaï, Zaï.

Un ET, bien classique, débusqué fin juin 2022 dans le neuvième arrondissement où nous venions de nous ennuyer en assistant à la représentation de type fiction radiophonique de Zaï, Zaï, Zaï, Zaï.

Au 13 de la rue Linné, dans le cinquième arrondissement parisien, une plaque précise que Georges Perec y vécut ....

Les E de son nom ont presque disparu  ... 

Aperçue sur un mur parisien, une mosaïque appelant à la vigilance ...  

Un ET bien abimé débusqué fin juin 2022 dans le neuvième arrondissement où nous venions de nous ennuyer en assistant à la représentation de type fiction radiophonique de Zaï, Zaï, Zaï, Zaï.

Se promener dans les rues de Paris le nez en l'air c'est bien  ... mais regarder au sol, c'est bien aussi ! 

Que peut-on rêver de mieux ? 

Me promener le nez en l'air dans les rues parisiennes me permet d'y débusquer fréquemment des œuvres d'Invader, parfois des plaques célébrant les hommes (bien plus rarement les femmes) qui ont résidé dans ces maisons, mais aussi des caryatides originales ou de vieilles enseignes, comme celle-ci célébrant les produits du Vaucluse ... 

Un ET bien présent derrière une palissade débusqué fin juin 2022 dans le neuvième arrondissement où nous venions de nous ennuyer en assistant à la représentation de type fiction radiophonique de Zaï, Zaï, Zaï, Zaï.

Lors du séjour parisien d'avril, nous avons enfin poussé les portes de La Samaritaine, pour refaire un tour dans ce magasin où nous allions parfois faire des achats au siècle dernier.

C'est notamment là que j'ai acheté ma machine à coudre, en 1984 ! 

Mais cette fois, point d'achats !

C'est devenu un nouveau temple du luxe aux tarifs exorbitants. 

Tel ce sac en granny squares des plus simples, joli certes, pour qui apprécie ces carrés de grands-mères,

vendu  ... 320 € !!!