le blog de Bill et Marie

Lors du séjour parisien de janvier, j'ai démarré la confection d'une nouvelle paire de chaussettes pour l'Homme, ouvrage destiné à y rester et à progresser lors de nos séjours parisiens de 2023.

La quinzaine de janvier m'a permis de réaliser la moitié de la première ! 

A suivre  ...

Pour l'un des repas festifs d'entre Noël et le jour de l'an, nous avons réalisé - à quatre mains - cette recette au look original ! 

J'ai pris : 
2 cuisses et 4 cous de canard confit
le reste de farce du chapon de Noël
4 pommes de terre
1 grosse patate douce
du lait et du beurre
sel, poivre

Faire cuire séparément les pommes de terre et la patate douce dans de l'eau salée
Confectionner une purée assez compacte en incorporant du lait et du beurre aux légumes pressés (toujours séparément) 
Dépiauter les cous et les cuisses de canard, enlever la peau et le surplus de graisse et couper la chair obtenue en petits dés.
Déposer la viande de canard et le reste de farce de chapon (ou de la chair à saucisse) au fond d'un plat à four
Recouvrir de rayures de purée
Faire réchauffer au four, à 200°, pendant une bonne demie heure.
Servir très chaud 

Un mois qui a commencé à Toulouse pour une semaine de rendez-vous, de balades et de rencontres avec des amies. 

Un mois où nous avons passé deux semaines à Paris, où nous avons pu profiter de Mademoiselle et de ses parents, retrouver des amies dont les dates de séjour concordaient avec les nôtres, assister à un cours au Collège de France, et débusquer quelques œuvres d'Invader lors de balades inédites. Ce séjour a cependant été ombragé par un gros  rhume qui nous a terrassé l'un après l'autre, nous privant de nos activités culturelles habituelles. 

Un mois où nous avons cuisiné à deux mains ou à quatre des recettes classiques (feuilletés aux foies de volaille, quiche au jambon et aux champignons, risotto aux cèpes, salade tiède de choux de Bruxelles et poires, riz à l'indienne, Irish stew, Pot au feu, Gaufres), inédites (soupe gratinée aux légumes), revisitées (salade de fenouil à l'orange sanguine)  

Un mois où nous avons continué de fréquenter nos restaurants préférés, à Toulouse, L'enclos, Il Popolo, Trois Brasseurs, et, à Paris, La Fabuica, HD Diner. Nous y avons également savouré un excellent repas de barbecue coréen chez Ossek Garden.

Un mois de belles lectures, notamment 'La plus résistante de toutes' de Nicole Bacharan et 'Le silence et la colère' de Pierre Lemaitre. 

Un mois où j'ai démarré de nouveaux ouvrages au tricot, deux paires de chaussettes pour l'Homme (une à Toulouse et une à Paris) et un futur pull pour Mademoiselle, dont seul l'échantillon est calé.

Un mois qui s'est achevé à Toulouse, avec des rendez vous incontournables, dont la quatrième vaccination anti-COVID, des retrouvailles avec des amies autour d'un tricothé et une migraine malvenue !

Oh que ce fut agréable de repartir en Grèce.

De pouvoir à nouveau plonger dans le Bleu, du moins avec les yeux, et de baigner dans la douceur des rayons du soleil printanier.

Pour conserver ce plaisir, je poursuis ma publication de photos de Bleu, chaque mercredi, de ces bleus récoltés lors de nos séjours grecs !

Bleu du ciel, de la mer, des objets …

Le bleu tout seul ou le bleu magnifié par d’autres couleurs …

Bref, le bleu dans toutes ses formes !

Aujourd’hui, le kiosque à journaux et à souvenirs, où, il y a bien longtemps, quand nous n'avions pas de smartphones, nous tentions de lire les Une des journaux internationaux. 

Côté papier, un cadeau de Babelio et un Nobel qui attendait son heure (enfin venue en raison de mon inscription au Challenge Nobel !) ... 

Côté Kobo, des coups de cœur et des craquages récents qui me permettront de compléter des challenges de lecture auxquels je me suis inscrite !

Côté Kindle, des cadeaux de NetGalley ... 

Pas grand chose au jardin dans cette fin janvier glaciale ! 

Les premières violettes, blotties auprès des arbres, de rares pâquerettes, les boutons de camélia qui vont encore attendre trois mois pour éclore et les cyclamens sauvages toujours vaillants !

Les acanthes se sont bien installées et protègent le nouveau laurier rose foncé ; les aromatiques sont seules à produire en cette saison : un laurier qui grandit, le coriandre qui se multiplie et le romarin bien touffu ...

Nous rentrons de deux semaines parisiennes, d'un séjour bien rempli où :

nous avons passé de longs moments avec Mademoiselle et ses parents, 

nous avons revu des amis et découvert un nouveau restaurant, 

nous avons assisté à une conférence passionnante au Collège de France, 

nous avons visité une exposition rétrospective de 50 ans de street-art parisien, 

nous sommes promenés, dans des quartiers que nous connaissions peu ou mal ce qui nous a permis d'accroître fortement notre 'collection" d'œuvres d'Invader ... 

... et nous avons couvé un gros rhume qui nous a privé de quelques sorties ! 

A suivre ... pour des articles plus approfondis et illustrés ! 

Partis avec mes cartes de vœux en début de mois, ils étaient cette année recouverts de tissu torchon, bandana rouge, londonien, fait main ou 2CV ludiques.

Comme chaque année, j'ai acheté les calendriers chez Atelier196 où j'aimerais bien aller assister, enfin, à un lundi de soie ! 

Au moment de Noël, je confectionne chaque année un gâteau au chocolat qui dure longtemps (on n'a souvent plus très faim quand arrive le dessert) 

Lorsqu'il est un peu rassis, je le sers traditionnellement avec du lemon curd, qui l'assouplit.

Cette année, j'ai enfin concrétisé une autre idée qui me taraudait depuis quelques années : une Forêt noire ultra simplifiée !

J'ai pris : 
quelques tranches de gâteau au chocolat
un bocal de griottes au sirop
une bombe de crème chantilly au mascarpone (ou mieux, une chantilly maison !) 

Disposer les tranches de gâteau sur une assiette 
Imbiber du sirop des griottes
Déposer quelques griottes sur le gâteau
Couvrir de crème chantily et déposer une griotte au centre ! 

Quand nous avons vidé la maison de mes parents, en 2019, j'ai récupéré quelques objets, certains chargés de souvenirs ou de la mémoire familiale, comme ce plateau que mes parents avaient reçu en cadeau de mariage et qu'ils utilisaient dans les années 60 pour protéger la table du séjour lors des apéritifs ou des tisanes du soir. 

Je l'ai ressorti lors de la première visite de Mademoiselle pour y regrouper liniment et carrés de coton qui allaient servir pour ses changes