Je suis en ce moment en train de préparer rêver à nos prochaines vacances italiennes .... et cela m'a donné envie (d'inventer) de réaliser une nouvelle recette de sauces à pâtes, inspirée de celle des penne primavera, mais dans une version un peu plus hivernale ... 

Pour 6, il faut :
300 g de petits pois surgelés
350 g de chair à saucisse de Toulouse
200 g de feuilles d'épinards
200 g de champignons de Paris frais
1 pot de ricotta
3 cuillères à soupe de mascarpone
sel, poivre

Plonger les petits pois dans une grande casserole d'eau bouillante salée pendant 5 mn.

Retirer les petits pois puis utiliser cette eau pour faire cuire des pâtes courtes (j'ai utilisé des Castellane de Barilla ), selon les instructions du paquet (ne pas les faire trop cuire !) (rajouter éventuellement de l'eau avant d'y plonger les pâtes !).

Faire revenir les champignons de Paris dans une poêle avec une cuillère à soupe d'huile. Les réserver lorsqu'ils sont dorés.

Faire suer les épinards dans la même poêle et réserver à leur tour.

Toujours dans la même poêle (pas lavée) faire revenir la chair à saucisse émiettée.

Quand elle est dorée, ajouter, les petits pois, les champignons et les épinards, bien mélanger puis ajouter la ricotta et le mascarpone.

Laisser mijoter quelques instants.

Quand les pâtes sont cuites, les égoutter, mais pas totalement (à défaut, garder une louche d'eau de cuisson). Verser les pâtes dans la poêle, et les enrober délicatement de la sauce. Laisser reposer 2 à 3 minutes avant de servir.

Déguster bien chaud !  

Je prépare généralement double ration de ce plat, et je le congèle !

Edit de 15h40 :

Je ne vous parlerai de la finition que quand j'aurai brodé la quatrième partie ... donc courant avril, quand j'aurai une meilleure vision de ses dimensions finales, et surtout, parce que d'ici là, je changerai peut être d'avis ...

Commencé en Juin, j'avais arrété aux trois quarts car les choix que faisaient l'héroïne ne me plaisaient pas (!), mais c'est avec plaisir que je l'ai fini, car il est très bien écrit.
Jane est la narratrice et s'adresse directement au lecteur en le prenant à partie.

Résumer ce livre sans en dévoiler toute l'histoire me semble impossible. C'est d'ailleurs le malheureux pari qu'a fait l'édition du livre de poche dans leur quatrième de couverture, puisque la partie qui se trouve résumée commence aux alentours de la page 230 (sur 520...).
Tout ça pour vous prévenir que si vous n'avez pas lu "Jane Eyre" et que vous comptez le lire, n'allez pas plus bas ! 

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L'histoire commence alors que Jane est encore une enfant. Elle est orpheline et est elevée par une tante qui n'a guère d'estime pour elle et est entourée de cousin(e)s qui lui mènent la vie dure. Elle est ensuite envoyée dans une pension où elle passera une dizaine d'année, en tant qu'élève, puis en tant qu'institutrice.

Elle décide ensuite de trouver une place dans une maison pour instruire une élève et c'est ainsi qu'elle rencontre le tuteur de la jeune fille dont elle s'occupe, M. Rochester. Elle tombe peu à peu sous le charme de cet homme, de vingt ans son ainé. Il se trouve que ce sentiment est réciproque. Or, le jour même du mariage, elle apprend que M. Rochester est marié et que sa femme, folle, est enfermé dans sa demeure. Jane, affolée à l'idée de contracter une alliance avec un homme déjà pris, s'enfuit la nuit suivante.

C'est à ce moment-là que je me suis arrêtée en Juin : ils sont fous l'un de l'autre, ils pourraient vivre ensemble en n'étant pas mariés, mais non ! elle s'enfuit !!
Je sais bien que les mentalités étaient très différentes alors, mais ça m'a assez énervée pour faire une pause de 6 mois :-)

Jane, sans le sou, erre à la recherche d'un travail. Morte de faim et de fatigue, elle est recueillie au bout de 3 jours par St.-John et ses deux soeurs, réunis dans la maison familiale à la suite du décès de leur père. St.-John donne un travail d'institutrice à Jane. On apprend aussi que St.-John est le cousin de Jane lorsque celle-ci hérite de 20 000 livres d'un oncle décédé. De plus, St.-John veut se faire missionnaire et encourage Jane à l'accompagner ; Jane accepte, mais son cousin pose la condition qu'ils devront se marier avant de partir, pour des raisons de convenance. Elle refuse alors de se marier alors qu'il n'y a pas d'amour entre eux.

Voilà autre chose qui m'a choquée !! Elle n'était pas prête à avoir une liaison avec un homme marié, mais se marier avec un cousin ne lui pose aucun problème !! Heureusement, tout cela a changé aujourd'hui !

Jane part à la recherche de M. Rochester, n'ayant pas obtenu de nouvelles de lui depuis un an. Arrivée à son domaine, elle le trouve brulé et ruiné (le domaine, par M. Rochester :-) . Après avoir obtenu des renseignements sur sa nouvelle résidence, elle le retrouve aveugle et avec une main en moins. Mais leurs sentiments n'ont pas changé et le livre se finit sur leur union :-)

J'ai mis du temps à le lire, mais j'ai beaucoup aimé ce livre, maintenant, je regrette un peu de ne pas l'avoir lu d'une traite (dans le même mois en tout cas :-) . Ce qui me fait dire que je le relirai sans doute !

Week end, bien chargé - comme d'habitude - mais avec des activités peu habituelles ...

Vendredi a commencé doucement, lecture, rangement de tissus, puis j'ai fait un petit tour chez Thomas Cook afin d'obtenir leurs nouvelles brochures Europe et USA pour préparer nos prochaines vacances et je suis restée près de trois quarts d'heure avec la charmante personne qui m'a trouvé de chouettes hôtels à Rome ces deux dernières années ... 

De là, je suis allée me faire faire mes nouvelles lunettes - je vieillis, ma myopie s'améliore - puis j'ai fait quelques courses, dont une échevette DMC pour un ouvrage qui sera bientôt lancé. J'ai plus de 200 échevettes en stock ... pourquoi m'en manque-t-il toujours une quand je veux démarrer un nouvel ouvrage ?

Après le déjeuner, j'ai taillé mon futur nouveau pyjama, j'en avais découpé le patron le matin.

Marie, oui, je sais, j'ai le patron et le tissu depuis presque un an, mais je déteste découper les patrons ...
Le patron est de Burda (2691), le tissu est du piqué de coton milleraies blanc, le col et les parements du bas des manches et de la poche seront en tissu à fleurettes bleues sur fond beige.
Bon là, c'est fait, il me reste à boucleter, monter, surfiler, piquer, fignoler ... si tout va bien il sera fini dans quelques mois (je ne prends pas de risques ni ne me mets la pression !).

J'ai également préparé quelques sacs et pochettes, cela faisait bien longtemps que je ne m'en été pas fait pour moi ...

Vendredi soir, nous sommes allés dîner chez Tommy's,  un restaurant américain 'comme là-bas' qui est à deux pas de chez nous et qui sert, entre autres, de succulents hot-dogs et hamburgers maison !

Comme il le faut bien, si je veux en voir le bout ;-), j'ai continué à broder la frise du Winter Snapperland ... mais que c'est long ! Si je laisse tomber maintenant, ce sera un UFO pour toujours ... rien que cela me motive ! Vendredi soir, il me restait la phrase du bas et 6 étoiles ...

Samedi matin, balade au marché de Lavaur (on n'avait plus de pommes !) balayé par un vent assez violent qui avait laissé chez eux tant la plupart des commerçants que les clients ! Mon marchand de tissus était quand même là, avec des tissus genre 'patch' qui doubleront à merveille mes prochaines trousses de brodeuse.

J'ai passé une partie de l'après midi à classer notre collection de CD. Après l'achat de la Benno il y a deux semaines, on y avait juste posé les disques en vrac ... moralité on ne retrouvait plus rien ... Là ça va mieux, mais l'achat d'une troisième Benno s'impose déjà, puisqu'une bonne douzaine de disques (les italiens) n'ont pas trouvé de place !

Pendant la soirée foot (et le TFC a gagné à Lorient ... c'est bien !), j'ai continué à broder le Winter Snapperland ... Je m'interdis maintenant de toucher une autre broderie tant que celle-ci ne sera pas terminée :-(  

Maintenant que les trois côtés de la frise et des étoiles sont achevés, je vais certainement aller plus vite sur la phrase du bas, moins monotone que ces f****** étoiles de givre en Whitewash (n'empêche, je suis sûre que c'est la mare gelée qui n'en finissait pas qui m'a dégoutée de cette couleur ! ) .

Diamnche matin, après les scones lavaurins du petit déjeuner, j'ai préparé une nouvelle recette (inventée) de sauce à pâtes ... préparer des vacances italiennes donne envie de manger comme là-bas !

Pendant le Barnaby de France 3 puis le téléfilm 'Deepwater' qu'on regarda ensuite sur Canal+, ... J'ai terminé de broder le texte du Snapperville ... Mais il me restait encore les deux dernières étoiles de neige :-(

Alors, pour me changer les idées, je me suis remise à tailler des sacs ... Mais là le modèle, basé sur un patron Burda était peu plus complexe que mon modèle habituel ... En plus je trouve qu'ils ont complexifié l'affaire (j'aurais fait plus simple !)

A suivre le week end prochain quand je sortirai la machine à coudre pour piquer tout ça !

Et puis, dans la soirée, en regardant un DVD de Seinfeld ....

J'ai terminé le Winter Snapperland !

Dis, chef *VJ*, suis-je la dernière à terminer notre SAL ?

Bill est une experte de Zola, quand elle m'avait dit "lis dans l'ordre "L'assommoir", puis "Nana"", j'ai suivi ses conseils, et je m'étais lancée dans "L'assommoir".
Elle ne m'avait pas prévenu que ce serait aussi triste (pour un peu, je l'aurai mis dans le frigo, comme Joey !) et au final, j'ai mis deux mois avant de lire "Nana". Il est intéressant de les lire dans cet ordre, car l'héroïne de "L'assommoir" est la mère de Nana, et que l'on y voit donc son enfance.

Nana est une artiste, elle joue au théâtre, mais se fait plus remarquer par son charisme, ses cheveux blonds et son gros corps de rousse que par son jeu médiocre. Après ses représentations, Nana reçoit des hommes dans son appartement. Mais elle n'en fait qu'à sa tête, et ses choix ne tournent pas forcément comme elle l'aurait espéré... même si elle s'en sort relativement bien !

Au regard de la vie de sa mère, j'ai trouvé cette histoire assez positive, car elle ne semble même pas souffrir de sa condition de prostituée. Même la fin, je ne l'ai pas trouvée triste. Disons qu'il y a un juste retour des choses...

Eh puis Zola écrit tellement bien !

A la demande de Madame La Mercière du Comptoir, je vais vous parler aujourd'hui de Diana Gabaldon.

J'ai découvert Diana Gabaldon en 1997 lorsque, sur les conseils de la bibliothécaire de mon CE, j'empruntai "Le chardon et le tartan".

Sa couverture, qui laissait penser à un ouvrage à l'eau de rose, ne m'aurait pas spontanément tentée, son épaisseur démentait de toutes façons cette première impression ....

Dans ce premier tome, l'histoire débute à la fin de la seconde guerre mondiale où Claire Randall, infirmière démobilisée et son mari partent en Ecosse, pour un voyage de noces tardif, la guerre les ayant obligé à le repousser. Un jour, en se promenant seule, Claire approche d'un 'cercle de pierres' et se retrouve brusquement plongée au milieu du XVIIIème siècle, au cours d'une échauffourée entre Ecossais et soldats anglais.
Après quelques péripéties, elle tombe amoureuse d'un bel Ecossais, Jamie Fraser, et l'épouse.
Au cours de ce premier volet, leurs aventures les conduiront en France, puis, juste avant la bataille de Culloden, Claire, reviendra au XXème siècle ....

Je passe sur le détail des tomes suivants, mais l'époque est propice aux voyages en tous genres ... de la France de Louis XV, aux premières colonies américaines, Jamie et Claire accompagnés de membres de leur famille élargie et d'amis traverseront leur temps, et participeront à l'émancipation de la colonie anglaise en Amérique.

Composée de six tomes (de 800 à 1200 pages) dans sa version anglaise, les volumes de cette saga ont été dédoublés à partir du quatrième tome par l'éditeur français (Presses de la Cité), chaque volume étant ensuite à nouveau dédoublé pour son édition en J'ai Lu. 
Je me suis demandée si ce n'était pas pour les vendre finalement beaucoup plus cher que dans leur version originale ? Rassurez moi, les éditeurs français seraient-ils plus vénaux que leurs homologues anglo-saxons ? Craignent-ils qu'un ouvrage trop gros fasse fuir les lecteurs ... c'est vrai qu'avec le dernier volume, j'avais parfois l'impression de soulever une haltère quand je lisais au lit ...  ;-)

Avant la parution du cinquième opus de la série, j'avais relu les quatre premiers ... Cette année je n'ai pas recommencé avant la lecture du sixième volet ! 

J'ai beaucoup aimé cette série, ces voyages au cours du XVIIème siècle - j'y ai révisé l'histoire anglaise !
C'est une excellente série de romans historiques remplis d'aventures et d'anedotes de toutes sortes. Les personnages sont terriblement attachants, je me suis régalée à les retrouver de volume en volume ...
Le seul défaut ... il est difficile de les poser !

J'ai conseillé ces livres à de nombreuses personnes, je les ai offerts à ma mère qui les a beaucoup prétés à des amies ...  et toutes ont beaucoup aimé !

Pour des infos complémentaires, vous pouvez aller sur le site de l'auteur ...  

Je ne travaillais pas mercredi, en raison d'un rendez vous chez l'ophtalmo et d'une charge de travail plus légère qui me permet en ce moment de me remettre de la surcharge de janvier.

J'en ai donc profité pour tester les recettes du livre "La cuisine des séries", et, en particulier des cookies de Phoebe (Friends)

Pour 25 cookies, il faut

150 g de flocons d'avoine
150 g de beurre
2 cuillères à soupe de farine
300 g de sucre roux (j'ai mélangé Blonvilliers et vergeoise brune)
1 oeuf
1 pincée de sel

Préchauffer le four à la température maximale (mon four ne va que jusqu'à  260°)
Mélanger les flocons d'avoine, la farine, le sucre et le sel dans un saladier.
Incorporer le beurre fondu et bien amalgamer.
Battre l'oeuf jusqu'à ce qu'il soit mousseux, le verser dans le saladier et bien mélanger.
Disposer des petits tas de pâte bien espacés sur la plaque du four recouverte de papier sulfurisé.
Enfourner pour 8 à 10 minutes à 220° (baisser la température du four après les avoir enfournés).

J'ai piqué dans la pâte de certains cookies, des éclats de cerises séchées, d'airelles séchées, des raisins secs ... Histoire d'avoir des goûts différents !  

J'ai voulu faire cuire ces cookies en deux fois seulement ...

Ils se sont tous étalés et collés les uns aux autres pendant la cuisson, et je les ai re-séparés ensuite, avec un couteau, quand ils étaient encore chauds ! 

Verdict :

Pas mauvais, mais un peu trop gras ... On n'en mange qu'un à la fois !

Hier, avant que le vent se lève et nous amène la pluie, j'ai eu le temps de prendre quelques photos du jardin qui s'éveille au printemps - oui, je sais, on n'est qu'en février, et l'an dernier il a neigé le 5 mars !

Les violettes, même les blanches, sont en fleur dans tous les coins de la 'pelouse' et il y en a de plus en plus au fil des années ...

les crocus sont bien installés depuis fin janvier :

et, depuis la semaine dernière, les premières fleurs sont apparues sur le pommier du Japon

Il y a quelques jours Anne-Tempus Fugit a proposé ce SAL original qui consiste à broder tout au long de l'année, un ornement de Noël par mois, afin de pouvoir décorer notre sapin de Noël 2007 avec des ornements faits-maison ... sans être prises par le temps ...

Bien que ce SAL n'ait été lancé qu'en février, nous devons réaliser 12 ornements dans l'année, au rythme qui nous conviendra le mieux ...

Et justement, en tout début d'année, j'avais confectionné ce coussinet 'Tall Snowman' (jumeau de celui adressé à Nanou dans le cadre de l'échange de Noël d'Accroforum) :

Voici donc mon premier coussinet de Noël 2007 : 

Modèle Tall Snowman de Heart in Hand,
Brodé sur du lin 12 fils Lambswool
avec les fils Weeks Dye Works conseillés ... que j'avais déjà pour le Winter Snapperland ;-))

Donc, bon, d'accord, c'est un peu de la triche puisque ce coussinet a été réalisé avant le démarrage du SALpin, mais il a bel et bien été fini en 2007 .... Donc il compte quand même ! 

Rendez vous à la fin du mois pour le second coussinet !